Gestion RH et Paie : sécurisez vos process et simplifiez votre gestion

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Secteur CHR

Chez Antheoz, nous prenons en charge vos obligations administratives et sociales pour vous permettre de vous concentrer sur votre cœur de métier. Notre expertise transforme vos contraintes RH en processus fluides et sécurisés, de la paie aux contrôles URSSAF.

illustration 3D d'un tableau avec une courbe et une loupe

Une expertise RH & Paie à votre service

Gestion des paies et obligations sociales

  • Établissement des bulletins de paie
  • Réalisation des déclarations sociales mensuelles et annuelles (DSN)
  • Traitement des formalités liées à l’embauche (DPAE)
  • Suivi des congés payés, absences et heures supplémentaires
  • Tenue du registre du personnel

Pilotage et gestion RH

  • Rédaction des contrats de travail et des avenants
  • Gestion des procédures disciplinaires (ruptures conventionnelles, licenciements)
  • Préparation des documents de fin de contrat (certificat de travail, attestation Pôle emploi, etc.)
  • Coffre-fort numérique pour sécuriser les bulletins et documents sociaux

Support et sécurisation des contrôles URSSAF

  • Préparation et assistance lors des contrôles URSSAF
  • Vérification de la conformité sociale pour limiter les risques de redressement
  • Accompagnement dans la régularisation des anomalies détectées

Vos questions les plus fréquentes

Oui, tous les contrats de travail doivent être rédigés par écrit, sauf pour le CDI à temps complet (sauf disposition conventionnelle contraire).

Si aucun contrat n’est établi, la relation de travail est automatiquement considérée comme un CDI à temps plein. Dans ce cas, l’employeur doit obligatoirement remettre au salarié une copie de la déclaration préalable à l’embauche (DPAE) adressée à l’URSSAF ou à la MSA.

Sans contrat écrit, aucune période d’essai ne peut être appliquée. Il est donc toujours préférable d’établir un contrat de travail.

En cas d’arrêt maladie, l’employeur doit verser une indemnisation complémentaire aux indemnités journalières de la Sécurité sociale (IJSS), sauf si la convention collective prévoit des conditions plus avantageuses.

L’indemnité légale versée par l’employeur commence en principe à compter du 8ᵉ jour d’absence, après un délai de carence de 7 jours :

  • Pendant les 30 premiers jours, le salarié perçoit 90 % de sa rémunération (IJSS + complément employeur).
  • Pendant les 30 jours suivants, il perçoit deux tiers de sa rémunération.

La durée d’indemnisation est augmentée de 10 jours tous les 5 ans d’ancienneté, sans pouvoir dépasser 90 jours.

Les conventions collectives peuvent prévoir des durées et montants supérieurs.

Lorsque l’effectif d’une entreprise dépasse 11 salariés pendant 5 années consécutives, certaines cotisations et contributions sociales supplémentaires deviennent obligatoires :

  • Contribution à la formation professionnelle (CFP) au taux de 1 %,
  • Contribution FNAL (Fonds national d’aide au logement) au taux de 0,10 % sur la part des rémunérations limitées au plafond de la Sécurité sociale,
  • Contribution FNAL (Fonds national d’aide au logement) au taux de 0,10 % sur la part des rémunérations limitées au plafond de la Sécurité sociale,
  • Forfait social, selon les cas.

Dès l’embauche d’un salarié, l’employeur doit afficher certaines informations obligatoires dans l’entreprise :

  • Numéros des services d’urgence,
  • Coordonnées du centre de médecine du travail,
  • Interdiction de fumer et vapoter,
  • Lieu de consultation du document unique d’évaluation des risques professionnels (DUERP),
  • Lieu de consultation du document unique d’évaluation des risques professionnels (DUERP),
  • Horaires collectifs de travail et repos hebdomadaire,
  • Coordonnées de l’inspection du travail,
  • Coordonnées du Défenseur des droits,
  • Ordre des départs en congés payés,
  • Ordre des départs en congés payés,
  • Texte de loi sur les discriminations au travail,
  • Texte de loi sur les discriminations au travail,
  • Convention collective applicable.

L’indemnité légale de licenciement est due aux salariés ayant au moins 8 mois d’ancienneté à la date d’envoi de la lettre de licenciement. Elle est calculée comme suit :

  • 1/4 de mois de salaire par année d’ancienneté pour les 10 premières années,
  • 1/3 de mois de salaire par année d’ancienneté au-delà de 10 ans.

L’ancienneté du salarié est appréciée à la date d’expiration du préavis, qu’il soit exécuté ou non. En cas d’année incomplète, l’indemnité est calculée au prorata des mois complets travaillés.

La convention collective applicable peut prévoir des conditions plus avantageuses.